Catéchisme de l’Eglise Catholique

La position de l’Eglise sur l’accès à la Communion de ses fidèles en état de péché grave et de tous ceux qui « contreviennent objectivement à la loi de Dieu », tels les divorcés remariés, est connue et relativement  simple : aucun accès sans qu’au préalable le fidèle n’ait manifesté son repentir et  n’ait abandonné son péché. (Catéchisme de l’Eglise catholique, article 1385, « Celui qui est conscient d’un péché grave doit recevoir le sacrement de la Réconciliation avant d’accéder à la communion »).

http://www.vatican.va/archive/FRA0013/_P3X.HTM

Cette position est explicitée dans la Lettre aux Evêques de l’Eglise Catholique sur l’accès à la communion eucharistique de la part des fidèles divorcés remariés: 

 » Si les divorcés se sont remariés civilement, ils se trouvent dans une situation qui contrevient objectivement à la loi de Dieu et, dès lors, ils ne peuvent pas accéder à la Communion eucharistique, aussi longtemps que persiste cette situation« 

Rejoindre la conversation

16 commentaires

    1. Bonjour,

      Ce qui me semble relever d’un autre débat. Mon interrogation porte seulement sur l’accès à la Communion

  1. Je crois que l’Eglise se trompe. C’est trés difficile à dire. Quelle a ètè la cause du divorce? Je crois fermement que J.C. nous aime et nous comprend. On peut pas juger. J.C. ne le ferait jamais. Communion pour tous. Et se remarier par l’Eglise après savoir les causes. Dieu pardonne toujours. Barcelone.

    1. Ne vous trompez pas, Dieu est terrible à juger parce qu’il connaît toutes les circonstances et ne laisse personne passer car c’est sa nature d’être infiniment juste et il ne peut pas aller contre sa nature, c’est l’une des raisons pour lesquelles il y a le purgatoire.

  2. Je suis Mr Zere Serge Pacôme le sujet est très important nous devons bien réfléchir avant de porter un avis que le Saint Esprit nous aide merci

  3. Pourquoi la rigueur à ce sujet n’est constatée que chez les catholiques romains, et pas dans les églises sœurs : orthodoxe, libérale, byzantine…? Deux motifs à mon analyse des écritures où le divorce n’est péché, mais solution : cas d’adultère et cas de pratique de l’occultisme. Mais l’église reste de marbre tant que la dissolution n’est pas prononcée, et ce même si le ou la concerné (e) continue avec ses engagements chrétiens. Vraiment il faut revoir beaucoup de choses dans la doctrine de notre église.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *